Gennaro Parricelli
Pierre
tu es, Pierre tu bâtiras...
Mots,
paroles perdues pour nous
J'ai
oublié votre grandeur
Mais
toujours, mais encore
Vous
tourmentez mon cœur
Pauvre
cœur humain au penchant si facile
A
jamais négligé, à jamais inconnu
Que
je te vénère et t'aime
Que
je cherche ta chaleur.
Les temps ne sont plus à la construction
RépondreSupprimerÉdifier, déifier, ce temps-là est passé...
Oui ! Apocalypse now !
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