A tâtons
En
une nuit inconnue à mon calendrier
Un
monstre m'a arraché les yeux
Mes
illusions
Et
depuis j'essaie de connaître ce noir
Qui
m'entoure mais toujours je tâtonne
Et
me cogne aux quatre murs de ma prison.
Parfois
je n'en sens plus que trois de ces murs
Parfois
les arrêtes de cette pièce mes mains
Méconnaissent,
alors ma prison est ronde
Ronde
comme un ballon
Oh malheur ! Les murs ont disparu
J'avance,
j'avance dans le vide !
Néant
sans plus trouver d'appui
Mes
pieds sont dans... mais où sont-ils ?
Tes pieds sont sous tes jambes, non?
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=vuBGdquP2KM
Marchant dans l'ombre j'ai eu peur de l'humain surtout les foules ...
Allez bon biz et a bientôt Mala :))
Comme il est rassurant de se dire que nos pieds sont là... sous les jambes...
Supprimer:)))) merci Cres pour la zic et les biz !!!
Oui, à bientôt !
Excelent poem! Excelentă imagine!
RépondreSupprimerMă voi gândi la poezia ta... Mă voi gândi la tine...
O seară frumoasă, dulce poetă! 😘
Moi aussi je pense à toi...
SupprimerBisous
Ces nuits ... marcher sur un fil qui se dérobe...
RépondreSupprimerPrémisse d'une perception peu commune, oui !
... c'est bien ça !!!
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