Gabriel Garcia Marquez
« Neruda
s’endormit à l’instant et se réveilla dix minutes plus tard,
comme les enfants, au moment où nous nous y attendions le moins. Il
apparut dans le salon, en pleine forme, le monogramme de l’oreiller
imprimé sur sa joue.
« J’ai rêvé de cette femme qui rêve », dit il. »
« J’ai rêvé de cette femme qui rêve », dit il. »
Me
alquilo para soñar dans Douze contes vagabonds, mars 1980.
Il
faisait partie des rares écrivains que le talent et le succès ont
accompagné presque tout au long de la vie. Gabriel Garcia Marquez,
décédé le 17 avril dernier, était parvenu à faire le grand écart
entre les honneurs (prix Nobel de littérature 1982) et l’opprobre
politique : il était interdit de territoire aux États-Unis en
raison de ses prises de position révolutionnaires. Dans ses œuvres,
il donnait une voix à la splendeur et à la détresse
sud-américaines, révélant au monde la richesse d’un continent,
de ses peuples et de leur histoire, condamnés à poursuivre
éternellement ses illusions.
https://www.youtube.com/watch?v=MGYdTYYeT3U
RépondreSupprimerrévolte toi révolte noire et a bientôt l'ami :))
https://www.youtube.com/watch?v=cZT_lCymUGg
la deuxième c'est pour le soleil ...
Quel beau rêve que celui qui rêve de la femme qui rêve !!!
RépondreSupprimerMerci Mala et merci Cres pour la musique.
Bon weekend à vous deux.
Merci mon Cres, je les aime tes chansons, les deux !!!!
RépondreSupprimerBisous
Oui, mon amie, bon weekend !