René Char


René Char



Si l’homme parfois ne fermait pas
souverainement les yeux,
il finirait par ne plus voir
ce qui vaut d’être regardé.

Commentaires

  1. Vă mulțumesc ! ❤
    Zile frumoase vă doresc, dulce Mala! 🌹

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  2. :) merci à toi cher Sem ! ❤
    Belle soirée

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  3. Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n’est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l’aima?

    Il cherche son pareil dans le vœu des regards. L’espace qu’il parcourt est ma fidélité. Il dessine l’espoir et léger l’éconduit. Il est prépondérant sans qu’il y prenne part.

    Je vis au fond de lui comme une épave heureuse. A son insu, ma solitude est son trésor. Dans le grand méridien où s’inscrit son essor, ma liberté le creuse.

    Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n’est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l’aima et l’éclaire de loin pour qu’il ne tombe pas?

    https://youtu.be/6ol65bApEas

    Bisous Mala !

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